Une île au milieu de la Méditerranée. Giovanni (comédien-mime marionnettiste) y vit avec son grand-père (marionnette à taille humaine). Ils subsistent de la pêche. Un jour, dans leur filet, ils prennent un drôle de poisson : il a deux bras, deux jambes, une tête. C’est un être humain. Il est en piteux état. Ils décident de lui donner une sépulture digne, là, sur leur île.
Les jours passent et ils recueillent d’autres corps.
Un soir, il décide de fabriquer des marionnettes ressemblant à ces êtres qui ont fui la guerre et les dictatures ; il rassemble des morceaux de bois d’épaves rejetées par la mer, il sculpte des corps articulés, il leur redonne un visage, une expression, une deuxième chance d’exister dans la mémoire de tous.
Pour cette nouvelle création Jean-Michel Debarbat, explore une nouvelle façon de travailler avec des marionnettes : la manipulation avec des tiges de petites marionnettes réalisées par Roberto Comin, créateur et fabricant installé à Venise
Une île au milieu de la Méditerranée. Giovanni (comédien-mime marionnettiste) y vit avec son grand-père (marionnette à taille humaine). Ils subsistent de la pêche. Un jour, dans leur filet, ils prennent un drôle de poisson : il a deux bras, deux jambes, une tête. C’est un être humain. Il est en piteux état. Ils décident de lui donner une sépulture digne, là, sur leur île.
Les jours passent et ils recueillent d’autres corps.
Un soir, il décide de fabriquer des marionnettes ressemblant à ces êtres qui ont fui la guerre et les dictatures ; il rassemble des morceaux de bois d’épaves rejetées par la mer, il sculpte des corps articulés, il leur redonne un visage, une expression, une deuxième chance d’exister dans la mémoire de tous.
Pour cette nouvelle création Jean-Michel Debarbat, explore une nouvelle façon de travailler avec des marionnettes : la manipulation avec des tiges de petites marionnettes réalisées par Roberto Comin, créateur et fabricant installé à Venise
Avec le train du ciel, et pour son second opus, le Luxtucru orchestra s’est embarqué avec fougue vers des horizons nouveaux, en biais , en l’air, de travers, et toujours à fond !
En chef de bord, Kurt Weill, à qui l’on doit le ton et le nom de cette aventure : trois de ses mélodies constituent l’ axe de l’envolée , un voyage vers un ailleurs rêvé et utopique, Youkali , un récit macabre et tout en couleur de la sinistre aventure des Filles ( perdues ) de Bordeaux et la recherche mystique et grandiloquente de la locomotive idéale pour conduire la petite troupe ( Le train du ciel).
Alors fort logiquement (dans une logique Luxtucru) , rejoignant les conseils avisés des guides touristiques , les musiciens se laissent tenter par de nombreux détours pittoresques: changement de quai pour rejoindre le “900 hundred miles blues” de Colette Magny , arrêt inopiné en plein summertime le long des voies ferrées, on croise un petit bal perdu,on s’arrête ? on ne se souvient plus…on croise Vivaldi, Passacaille! On redémarre avec à la main une valise à roulettes empruntée à Albert Marcoeur…belle invention tiens….
Le train du ciel c’est tout ça, la légèreté d’un petit air qu’on siffle à un train d’enfer.
Au début du siècle dernier, Célestine est engagée comme femme de chambre dans une maison bourgeoise au service de Madame. Cette dernière, autoritaire et injuste, lui fait vivre un enfer.
Elle devra faire sa place dans cette grande maison où chaque domestique vit sa condition de manière différente.
Création collective librement inspirée de « Journal d’une femme de chambre » d’O. Mirbeau, « Instructions aux domestiques » de J. Swift et de chansons réalistes.
Mise en scène : Nelly Brun
Réservation conseillée
Tarifs: 10€ – Adhérents 7.50€ – Gratuit moins de 18 ans
Organisateur: LIC de Saint-Boil
Hyacinthe, grand-père bougon est « coco », bouffeur de curé.
Rose grand-mère gâteau est catho.
Tout semble les opposer mais ce qui réunit ce rouge Papy et cette Mémère abondante, c’est l’amour des fleurs.
Le portrait de ces deux personnages se dessine à travers des anecdotes cocasses ou un brin nostalgiques, illustrées musicalement par deux guitaristes et visuellement par un montage photographique.
Réservation conseillée
Libre participation
Organisateur: LIC de Saint-Boil
Mise en scène : Catherine Chaussumier
Une tigresse, Mihaela, s’est échappée d’un zoo pour découvrir la ville et le monde…
Gianina Cărbunariu, utilisant les codes du documentaire, propose une fable fantasque, une satire joyeuse à l’humour mordant, de notre rapport à l’Autre, cet étranger.
Adultes : 10€ adhérents : 7,5€ réduit : 5€
Hyacinthe, grand-père bougon est « coco », bouffeur de curé.
Rose grand-mère gâteau est catho.
Tout semble les opposer mais ce qui réunit ce rouge Papy et cette Mémère abondante, c’est l’amour des fleurs.
Le portrait de ces deux personnages se dessine à travers des anecdotes cocasses ou un brin nostalgiques, illustrées musicalement par deux guitaristes et visuellement par un montage photographique.
Réservation conseillée
Libre participation
Le groupe Tiré-Poussé de la Maison du Terroir
La Scottish valsée,
La Mazurka à Jules,
Le Troupiau, la Valse des roses…
Tous en piste !
Entrée 7€
Concert Jazz Bateau Ivre
Dimanche 24 mars à 17h00
Maison du Terroir
Vendredi 5 avril 20h30 : Mira Ceti
La voix de Mira Ceti se module au carrefour des temps et des peuples pour convier le spectateur à un voyage sonore, des byzantins aux prières des Indiens d’Amérique du Nord.
Samedi 6 avril 20h30 : Trio Les Coquelicots – Brigitte Hirsig, Katharina Fuhrer, Lulu Müller (Suisse)
Depuis 1994, « Les Coquelicots » chantent a capella des chansons populaires, entre autres d’origine macédonienne, géorgienne, russe, bulgare, ukrainienne et juive…
Dimanche 7 avril 18h00 : A Contrario
Recherche des vrais plaisirs de la vie : du vin, du champagne et des amours plus ou moins contrariées.Des Frères Jacques, un Ricet Barrier, quelques gouttes d’Yvette Guilbert, Erik Satie, Ivan Markovitch et du trad avec deux doigts de standards américains.