Aujourd’hui, rien n’est acquis pour la reconnaissance des femmes. Déjà chez Aristophane, elles se déguisaient en hommes pour accéder à l’Assemblée Nationale.
Nous écouterons ici leurs voix, leurs doléances, leurs inquiétudes, leurs fragilités. Mais la parole sera aussi donnée aux hommes, parfois inquiets de la place qu’on leur laisse…
Rose est en colère, très en colère ; elle n’arrive pas à faire son repassage. On s’aperçoit assez vite qu’un événement irréparable s’est produit.
Elle fait partie de ces femmes oubliées, dont on découvre trop tard le calvaire, quand l’irrémédiable est arrivé.
« Hortense a dit : Je m’en fous » et « Léonie est en avance » de Georges Feydeau
par la Compagnie Plaisirs du théâtre
non adhérents 10 €, adhérents 8 €, 16 à 25 ans 6 €, – de 16 ans gratuit
Avec ces trois petites comédies caustiques où parlent des noyés, où des artistes lyriques n’aiment plus chanter, et où le meurtre est une prestation, la Compagnie A la Traverse des Songes tente de montrer combien nous sommes capables de cruauté et d’amour, de colère, de lâcheté et parfois… de courage.
« Sur les pas du Maquis » par Robert Chantin
Professeur d’histoire du Comité du souvenir Jean Pierson
Naissance et développement des réseaux résistants villageois autour du maquis FTP de Collonge (1943-1944) : Fley, Bissy sur Fley, Genouilly, Saint-Gengoux…
Par Jean-Claude Raimbault
L’association ANUVAM créée en 1995 par des trekkeurs aimant randonner dans l’Himalaya a pour objectifs de :
- Participer à une réflexion sur l’avenir d’une communauté villageoise dans le respect de ses traditions,
- Soutenir des actions de développement en concertation avec les membres de cette communauté,
· Instaurer et développer des relations amicales et toutes autres formes d’échanges permettant une meilleure connaissance et compréhension réciproque.
Dans une salle à manger ordinaire des années 70, un couple de retraités pauvres se déchire au quotidien.
Jeanne, mégère acariâtre qui érige l’aigreur en art majeur et Henri, militant communiste de la première heure qui trouve dans le parti son échappatoire.
Au terme de trois jours de procès, neuf jurés se réunissent à huis clos pour délibérer.
Ils doivent décider du sort d’un délinquant de 16 ans.
A-t-il
sauvagement assassiné ses grands-parents adoptifs ?
Tous les éléments de l’accusation sont accablants.
Une jurée, seule contre huit, vote non-coupable.